Univers et Ambiance
Le financement de Net-Sphere par le Fond Monétaire International en 2052 ancre le principe dans la réalité et dévoile ce nouveau moyen humain et non destructeur de régler les guerres.
Cependant, après la défaite de la Chine contre une nation ennemie, la simulation est remise en question et le principe enterré.
Un groupe de hackers parvient en revanche à s’approprier le code source de la simulation, qui refait surface progressivement sur le net sous forme d’un jeu.
D’ailleurs, en 2057, la Corée du Sud organise la première compétition e-sport centrée sur ce nouveau type de jeu, nommé S4.
Pendant que la simulation devient un jeu largement apprécié, on se rend compte que certaines anomalies apparaissent sur Terre, des anomalies depuis très longtemps oubliées, qui semblent être connectées à la simulation d’une manière ou d’une autre.
Quelques images de S4 League
Forces du jeu
S4 League vise donc la mise en abîme comme le font certains autres jeux avec un succès relatif. Il le fait d’ailleurs plutôt bien, car il est sorti en 2008, rassemble toujours un nombre raisonnable de joueurs et peut se targuer d’une histoire en plus de 9 saisons.
Le jeu est une MMORPG FPS à la 3e personne proposant des combats en arène mêlant affrontements et sport du genre football américain. Sachez d’entrée de jeu que les combats sont rapides, déchaînés et très souvent chaotiques. Ceux qui préfèrent des affrontements stratégiques et bien pensés passeront leur chemin avantageusement.
On débute le jeu en créant son perso, avec très peu d’options de personnalisation en comparaison de ce qu’offrent les titres similaires. On choisit ensuite, au fur et à mesure de sa progression ses armes, ses compétences et ses attributs. Il n’y en a pas pléthore, mais ils sont tous bien pensés et utiles en jeu.
Si le gameplay peut facilement séduire et offrir de nombreux challenges, il faut bien avouer que la cash boutique est très présente et que ne pas y avoir accès est très très difficile. Autrement dit S4 League frôle sur le côté pay to win et devrait s’en méfier comme de la peste.